Conception, développement, impressions… Poetico s’inscrit dans une démarche locale. Comme une évidence. Je crois que cette envie ne m’a pas quittée dans ce projet, et même si la tentation de faire développer mes films et imprimer mes photos en ligne est forte, ce n’était pas une option possible dans ce projet.
Je me suis donc mise en quête d’un laboratoire d’impression où je pourrais voir, toucher, me faire conseiller, et prendre les bonnes décisions. Maud et David de l’atelier Lebolabo à Bordeaux, m’ont largement aidé dans mes choix et ont apporté l’écoute que j’attendais.
Je savais qu’en prenant le risque de travailler avec des pellicules périmées j’aurais beaucoup de photos ratées, je savais aussi que le développement apporterait des surprises et qu’il ne faudrait pas se tromper sur le papier. Intégrer le facteur humain dans ce projet était donc logique.
Mon mode de consommation n’est pas parfait, mais chaque pas me permet de progresser. Je me suis donc appliquée à faire de mon mieux pour que dans ce projet tout s’inscrive dans un mode de consommation raisonné (les consommables, les emballages, les impressions, les papiers utilisés, les encres). Produire mieux, durable, et qualité. Acheter moins mais de meilleure qualité.
Je vous dis un peu plus dans le Manifeste de Poetico
